En moyenne, vous allez devoir espacer les séances d’épilation à la lumière pulsée d’un mois. L’efficacité de la méthode repose sur le fait que les poils sont en face de repousses. Il existe différents cycles et il est important de cibler avec précision le follicule pileux pour un résultat optimal. Bien évidemment, vous adaptez la fréquence des séances en fonction de votre situation personnelle.
Vous devez trouver le juste compromis pour effectuer l’épilation à la lumière pulsée durant la phase de croissance des poils, tout en laissant le temps nécessaire à votre épiderme de se régénérer. D’où l’importance d’être suivi régulièrement par un dermatologue.
Pourquoi faut-il espacer ces séances ?
L’espacement est essentiel pour ne pas gêner la régénération de la peau, car un stress cutané peut être observé si vous ne lui accordez pas suffisamment le temps nécessaire. Résultat, des problèmes cutanés peuvent apparaître en se traduisant par des irritations ou encore des rougeurs.
Ce n’est pas la seule raison valable, il faut également respecter le cycle de croissance des poils alternants entre une phase de repos, de transition et de croissance active. Avec l’épilation à la lumière pulsée, des effets secondaires peuvent apparaître, ces risques augmentent avec une utilisation trop fréquente de l’IPL. Afin d’éviter des complications indésirables, vous devez donc être vigilant sur l’espacement des séances.
Ne soyez pas trop pressé, bien au contraire, la patience reste de mise pour maximiser les résultats. Laissez le temps nécessaire à votre peau pour qu’elle puisse accueillir au mieux l’épilation à la lumière pulsée et réagir positivement au traitement que vous lui appliquez.